Les IA font des images qui ont l’air bien plus vraies que
les vraies photos. Plus nettes, plus propres, plus léchées. On finira peut-être
par les préférer aux vraies, comme on préfèrera causer aussi à une AI et
coucher avec un sex toy en latex hyper réaliste mais quand même bien plus lisse
et doux qu’un vrai humain.
Mais, comme Christina Aguilera en 2002, moi j’aime bien quand c’est sale. J’aime bien les images qui ont du grain, des zones de flou et les gens décoiffés avec des cicatrices et même ceux qui ne me disent pas que ce que je veux entendre.
Que vivent les asperités !
RépondreSupprimerOh que oui!
SupprimerLes imperfections sont tellement troublantes …
RépondreSupprimerEt moins ennuyeuses.
SupprimerJe les reconnais justement très facilement grâce à ça: ce côté lisse et plastique ultra ennuyeux. Et vive le sale, la vie et ses imperfections. Les vraies, pas les trop orchestrées de pseudo artistes à 2 balles non plus.
RépondreSupprimerOui, on n’a pas parlé de se vautrer dans le trash non plus 😉
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